Pour réécouter en intégralité l’interview de Denis Nkwebo sur ABK, cliquez sur le lien ci-dessous:
Ci-dessous, quelques phrases marquante de l’interview de Denis Nkwebo sur ABK Matin:
« Dès le jour de l’arrestation de Samuel WAZIZI, le SNJC était mobilisé. 06 membres du SNJC ont rencontré les enquêteurs et le commissaire. Le syndicat est resté en contact avec Samuel. À notre dernière conversation, il nous a dit craindre pour sa vie. Par la suite nous n’avons plus eu de retour officiel jusqu’à son décès »
« Un syndicat est encadré par la loi, elle ne donne pas la possibilité aux hommes de média de former un commando et de sortir de force un détenu. Si vous avez un problème judiciaire au quartier, ça ne concerne pas le syndicat. Il peut vous accompagner durant ce moment. Nous sommes comme des avocats pour nos membres, pas des juges. En Afrique nous sommes reconnus comme le syndicat qui defend le mieux les intérêts de nos journalistes. Nous reussissons parce que nous avons une démarche methodique et respectueuse des lois »
« Nous n’avons aucun journaliste membre du SNJC détenu au Cameroun. Tous les membres du SNJC qui ont eu des ennuis avec la Justice, la Police ou la Gendarmerie se sont toujours tirés d’affaire, sains et saufs »
« Un syndicat est encadré par la loi, elle ne donne pas la possibilité aux hommes de média de former un commando et de sortir de force un détenu. Si vius avez un problème judiciaire, ça ne concerne pas le syndicat. Il peut vous accompagner durant ce moment. Nous sommes comme des avocats pour nos membres, pas des juges. En afrique nous sommes reconnus comme le syndicat qui defend le mieux les intérêts de nos journalistes. Nous reussissons parce que nous avons une démarche methodique et respectueuse des lois »
« Où est le corps de WAZIZI? Comment est-il mort ? Dans quelles conditions? »
« Avec toute l’émotion soulevée par la nouvelle de la mort de WAZIZI, nous avons essayé de calmer les tensions. Nous avons mis sur pied le collectif #justiceforwazizi. Aujourd’hui le gouvernement a le temps de réagir sur cette affaire, nous donnons le temps à ce dernier de répondre aux questions essentielles : où est le corps de WAZIZI? Comment est-il mort ? Dans quelles conditions? »
« Un syndicat est encadré par la loi, elle ne donne pas la possibilité aux hommes de média de former un commando et de sortir de force un détenu. Si vous avez un problème judiciaire, ça ne concerne pas le syndicat. Il peut vous accompagner durant ce moment. Nous sommes comme des avocats pour nos membres, pas des juges. En afrique nous sommes reconnus comme le syndicat qui défend le mieux les intérêts de nos journalistes. Nous réussissons parce que nous avons une démarche methodique et respectueuse des lois »
« En Afrique, Le SNJC est reconnu comme le syndicat qui défend le mieux les intérêts de ses journalistes. Nous réussissons parce que nous avons une démarche méthodique et respectueuse des lois »
« Le SNJC travaille aussi sur les éléments de distinction des journalistes. Nous avons déjà distribué quelques gilets de presse, pour que tout le monde puisse identifier les journalistes sur le terrain. Nous pensons continuer dans cette lancée pour que le journaliste soit facilement reconnaissable. »
« Par rapport à la position du Cameroun au classement par rapport à la liberté de la presse, c’est à cause des abus et du non respect de la presse dans notre pays. Il faut que les autorités comprennent que la presse n’est pas un adversaire. Notre position va grandir lorsque la franchise professionnelle sera respectée, lorsque la liberté de la presse sera considérée. Lorsque l’on n’arrachera plus les caméras des journalistes sur le terrain lors d’un reportage, lorsque les journalistes ne seront pas retenus 10 mois sans nouvelles. »
« Pour le cas PAUL CHOUTA, le SNJC ne peut réagir pour une personne qui a estimé sur les réseaux sociaux qu’il (le syndicat) est nul et ne sert à rien. »
« On ne peut pas demander à un syndicat sans financement ni moyens, de couvrir 10 régions. Chaque journaliste doit se protéger lui-même en respectant son métier. J’écoute ABK RADIO tous les jours et les journalistes qui y font des chroniques osées parfois ne sont jamais arrêtés, parce qu’ils respectent leur travail. Il faut respecter le public et sa dignité. Si vous ne le faites pas, le syndicat a le devoir de vous dénoncer. »
« Pour le cas PAUL CHOUTA, le SNJC ne peut réagir pour une personne qui a estimé sur les réseaux sociaux qu’il (le syndicat) est nul et ne sert à rien. »
« Les journalistes ne doivent pas attendre d’avoir des ennuis pour se dire qu’un syndicat existe. Il faut que tous les journalistes adhèrent à des organisations professionnelles pour bénéficier de formation et d’encadrement ».
Cet article a été écrit et publié en premier sur ABK Radio
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